Aperçu de l'économie du Pakistan
Le Pakistan a une économie mixte avec des entreprises privées et publiques régies par la politique gouvernementale. C'est une économie en développement et considérée comme l'une des «prochaines onze», une liste de pays ayant le potentiel de devenir les plus grandes économies du monde. Actuellement, l'économie du Pakistan est la plus grande au monde.
Dans 2015, le produit intérieur brut (PIB) nominal était de 271 milliards de dollars par habitant, soit 1,429. Cela ne tient toutefois pas compte de l'économie informelle, qui représente environ X% de l'activité économique totale. Ce pays a un effectif de 36 millions et un taux de chômage de 57.6%. 6.5% travaille dans le secteur agricole. Viennent ensuite la fabrication (43%), la vente au détail et en gros (13.3%) et les transports et communications (9.2%).
Principales industries du Pakistan
L'industrie principale du Pakistan est le secteur des services, qui contribue à 54.9% du PIB. L'agriculture, bien qu'elle emploie 43% de la population active, ne représente que 25.1% du PIB. Les principaux produits de l'industrie comprennent: les textiles, la transformation des aliments, les produits pharmaceutiques, les matériaux de construction, les automobiles et les vêtements.
Principaux produits d'exportation et partenaires d'exportation du Pakistan
Au 2014, le Pakistan a exporté des milliards de dollars de marchandises, ce qui en fait la plus grande économie d’exportation au monde. Ses principales exportations comprennent: le linge de maison (milliards de dollars 28.3), le riz (67 milliards de dollars), les fils de coton non vendus au détail (milliards de dollars 3.23) et le coton tissé lourd (milliards de dollars 2.24). ). Une grande partie de ses exportations sont destinées aux pays suivants: États-Unis (milliards de dollars), Chine (milliards de dollars), Afghanistan (milliards de dollars), Allemagne (milliards de dollars) et Royaume-Uni (milliards de dollars).
Principaux produits d'importation et partenaires d'importation du Pakistan
Les importations de 2014 au Pakistan ont totalisé X milliards de dollars, ce qui a donné à ce pays un solde commercial négatif de X milliards de dollars. Une balance commerciale négative signifie que le pays a importé plus qu'il n'a exporté. Ses principales importations comprennent: le pétrole raffiné (milliards de dollars de 47.4), le pétrole brut (X milliards de dollars), l’huile de palme (milliards de dollars), la ferraille (millions de dollars) et les briquettes de charbon (millions de dollars). Une grande partie de ses importations proviennent des pays suivants: Chine (milliards de dollars X), Émirats arabes unis (milliards de dollars X), Arabie saoudite (milliards de dollars X), Koweït (milliards de dollars X) et Inde (milliards de dollars X). ).
Les défis de l'économie pakistanaise
La croissance économique au Pakistan a été entravée par des années de guerre et des conflits politiques, une population en augmentation rapide et de faibles niveaux d’investissements étrangers directs. En outre, 21% de la population vit en dessous du seuil de pauvreté. La balance commerciale négative du Pakistan augmente le déficit du pays et réduit ses réserves. Chaque année, la balance commerciale négative augmente à mesure que les importations dépassent les exportations. La dépendance aux importations s'explique en partie par le fait que l'infrastructure et l'industrie sous-développées du pays ne permettent pas la croissance. Nombre de ces industries sont détenues par l'État depuis plusieurs années, ce qui se traduit par une inefficacité et une réduction des bénéfices.
Plans économiques futurs
Malgré ces défis, l’économie du Pakistan a enregistré une croissance de 4.71 en% du PIB, qui devrait augmenter à 5.4% par 2018. Afin de lutter contre une croissance économique lente, le gouvernement s’emploie à privatiser un grand nombre d’industries. Cette initiative devrait réduire le déficit budgétaire et attirer des investissements étrangers. Ces deux éléments sont nécessaires pour améliorer l’infrastructure et l’industrie, qui sont essentiels à la croissance économique. Le Fonds monétaire international (FMI) a retiré le pays du statut de pays en crise et ses perspectives de dette ont été jugées stables.
