5. Vue d'ensemble de la CCNUCC -
La Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) a été initialement examinée dans 1992 et est officiellement entrée en vigueur dans 1994. C'est un accord international concernant la santé environnementale. Son principal objectif est de veiller à ce que les niveaux de gaz à effet de serre dans l'atmosphère soient maintenus et réduits afin de prévenir les changements climatiques. Ce traité sert principalement de cadre pour les futurs traités internationaux visant à fixer des limites aux émissions de gaz à effet de serre. La CCNUCC ne mentionne pas de limites spécifiques et n’a aucun pouvoir d’exécution. Aujourd'hui, l'accord a des membres 197.
4. Rédaction et acceptation de l'accord de Paris -
L'Accord de Paris était le sujet principal de la 21st Conférence des Parties à la CCNUCC, qui s'est tenue en décembre de 2015 à Paris, en France. Des représentants de 195 des pays membres de 197 ont assisté à la conférence et ont participé aux négociations. Il a été officiellement adopté en décembre 12, 2015 et disponible pour signature le Jour de la Terre de 2016 (April 22). Actuellement, les membres de 193 UNFCCC ont signé l'accord de Paris et 105 en a apporté quelques modifications avant de signer. L'Union européenne a été le dernier membre à modifier les termes et signé en octobre 2016. Cette signature a donné au traité la quantité suffisante de gaz à effet de serre pour entrer en vigueur. L'Accord de Paris est devenu un traité actif en novembre 4, 2016.
3. Termes et objectifs de l'accord -
L'objectif de ce traité était de faire en sorte que la température globale ne dépasse pas les températures de préindustrialisation de plus de 3.56 ° Fahrenheit chaque année. Il comprend également un accord selon lequel la tenue à des températures ne dépassant pas 3.47 ° Fahrenheit par rapport aux niveaux de préindustrialisation contribuera à réduire les risques de changement climatique mondial. Les signataires acceptent d'utiliser une technologie à faibles émissions de gaz à effet de serre, à condition que cela n'entrave pas la production agricole. Chaque pays signataire identifie ses propres directives pour participer à l'accord. Ces efforts doivent être signalés toutes les années 5 et l'accord oblige les participants à démontrer leurs progrès pendant cette période. Au fil des ans, les efforts dans chaque pays doivent progressivement augmenter. Toutefois, l’Accord de Paris ne représente pas le droit international et ne peut donc pas être appliqué.
2. Défis et critiques -
Le Programme des Nations Unies pour l’environnement a examiné l’Accord de Paris et a déterminé que les lignes directrices sur les émissions de gaz à effet de serre ne sont pas suffisantes pour maintenir les plages de températures cibles. En fait, les niveaux convenus devraient entraîner une augmentation de 3.74 ° Fahrenheit par rapport aux niveaux préindustriels. D’autres critiques à l’égard de l’accord reposent sur le fait qu’il ne s’agit pas en réalité d’un droit international, mais plutôt d’un ensemble de promesses. En raison de cette nature prometteuse, les pays ne sont pas motivés pour atteindre les objectifs identifiés. L’accord de Paris, estiment les critiques, n’est que de nature symbolique. Cela signifie que les futurs gouvernements pourraient décider de se retirer de l'accord à tout moment. L'une des suggestions les plus courantes faites pour surmonter la faiblesse de l'accord consiste à imposer une pénalité financière à toute personne ne répondant pas aux objectifs définis.
1. La mise en oeuvre -
La mise en œuvre de l’Accord de Paris repose avant tout sur le maintien des engagements non exécutoires des pays membres. Afin d’aider les pays en développement aux ressources limitées, les pays développés fourniront des solutions financières. Cet argent aidera à mettre en œuvre le plan visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre et à fournir une assistance en cas de catastrophe naturelle.