Pour Sauver Les Animaux Marins, Évitez De Manger Ces Poissons

Environ 71% de la surface de la Terre est recouverte d'eau et 97% de celle-ci est de l'eau salée, comme celle que l'on trouve dans les océans et les mers. Ces masses d'eau sont remplies d'une grande partie de la vie sur terre, qui comprend tout, des plantes aux mammifères et des poissons aux organismes minuscules. Les humains comptent sur cette vie marine pour un certain nombre de raisons, mais principalement comme source de nourriture. Pour cette raison, la vie marine est en danger. La demande mondiale de produits de la mer a entraîné des pratiques de surpêche, entraînant l'épuisement ou presque de la pêche. Plus de 85% de la population mondiale de poissons sont surexploités, épuisés ou en voie de rétablissement. Les scientifiques pensent que dans les années 30, les produits de la mer pourraient disparaître. La pêche a réduit les espèces de fruits de mer comestibles par 29% en très peu de temps et ce chiffre ne prend même pas en compte les innombrables autres animaux marins perdus au cours du processus (corail, tortues, requins, oiseaux de mer et dauphins). En dépit des risques pour la vie marine, les produits de la mer continuent à être recherchés. Même les espèces menacées, vulnérables ou en voie de disparition sont encore pêchées et consommées. Cet article examine pourquoi certaines créatures marines sont en danger.

Que font les humains qui menacent les espèces marines?

Les pêcheries côtières ayant été surexploitées et rapidement épuisées, les navires de pêche se sont déplacés dans des eaux plus profondes pour rechercher des poissons. Les demandes insoutenables continuent de se propager et certains poissons courent un grave risque d’extinction. Vous trouverez ci-dessous une liste des espèces marines les plus vulnérables. La raison de leur statut de menace est due à un certain nombre de facteurs. L’une de ces causes est que l’industrie de la pêche ne fait que capturer les espèces les plus demandées sur le marché, y compris les espèces vulnérables, sans tenir compte de la capacité de l’animal à se remettre de sa perte. La direction choisit de ne pas suivre les avis scientifiques sur les limites de capture et au lieu de cela, elle fixe ses quotas à des niveaux beaucoup plus élevés et non durables. Cette pratique a eu un impact extrêmement négatif sur la morue et les espèces de thonidés de l’Atlantique.

surpêche

Lorsque la direction choisit de ne pas suivre les limites fixées par la communauté scientifique, cela se traduit par une surpêche. La surpêche se produit lorsque plus de poissons sont capturés que ce qui peut être remplacé par la reproduction naturelle. Les conséquences en sont considérables, non seulement elles diminuent la biodiversité, mais affectent également les populations qui dépendent de la pêche de subsistance pour survivre. Les espèces de thon sont touchées de manière disproportionnée par cette pratique, en particulier le thon rouge de l’Atlantique, qui est maintenant en danger. La surpêche a contribué au statut menacé de toutes les espèces figurant sur la liste ci-dessous.

Pêche sélective et prises accessoires

L'utilisation de méthodes de pêche non sélectives est similaire à la surpêche. La racine de ces deux pratiques est la recherche de la quantité. Dans le cas de la pêche non sélective, les pêcheurs utilisent un type d’approche libre dans lequel le plus de poissons possible sont capturés. Les poissons non récoltés comme prises accessoires sont ensuite rejetés dans la mer après leur mort ou leur mort. Ce type de pêche ne tient pas compte de la durabilité et tue souvent les poissons immatures, leur interdisant la reproduction et l’augmentation de la taille de la population.

Méthodes de pêche destructives

Les pratiques de pêche destructrices sont une autre cause de la diminution de la biodiversité marine. Dans les 1980, l'industrie de la pêche a commencé à utiliser des chaluts à roquette qui permettent aux pêcheurs de se déplacer dans les régions rocheuses et les écosystèmes de récifs coralliens précédemment évités. Cette machinerie traîne sur le plancher océanique en déplaçant des roches et en détruisant le corail. Le chalutage de fond peut être comparé à la déforestation car il élimine les coraux, les abris et les ressources alimentaires pour de nombreuses espèces marines. La pêche au cyanure est une autre pratique destructive qui permet aux pêcheurs d'étourdir les poissons sans les tuer pour satisfaire la demande de poisson vivant dans de nombreux restaurants. Pour chaque poisson vivant capturé, le mètre carré de corail 1 est perdu. La pêche à la dynamite est similaire, bien qu'elle tue les poissons au contact, puis ils flottent à la surface et les pêcheurs les ramassent dans des filets. Plus que le poisson désiré sont tués en utilisant cette technique. Une autre pratique destructive indirecte se produit lorsque des engins de pêche sont perdus en mer. Bien qu'ils ne soient plus utilisés, les filets, les hameçons et les pièges continuent de capturer la vie marine, comme les tortues, les dauphins, les baleines et divers poissons. La pêche destructive affecte toutes les espèces de la liste ci-dessous, sauf le saumon, le marlin et l'anguille.

Pirate Pêche

La pêche de pirate se produit également. Les pêcheurs de pirates n'ont aucun respect pour les lois sur la pêche et attrapent souvent des poissons illégaux ou s'installent dans des zones sans pêche. Leurs captures ne sont ni déclarées ni réglementées, ce qui pose un énorme problème pour les tentatives de développement durable. Les poissons de la liste la plus touchée sont les requins, les raies, les raies et les thons.

Être un consommateur de conscience

Vous pouvez participer à la lutte pour conserver la vie marine. Le simple fait d'acheter est la chose même qui pousse l'industrie de la pêche à continuer ses pratiques. Alors, choisissez judicieusement. Achetez des fruits de mer capturés par de petites pêcheries locales. Recherchez des alternatives aux espèces sur cette liste, choisissez des poissons pêchés à la ligne chaque fois que possible pour éviter les pratiques non durables mentionnées ci-dessus. Acheter bio en raison des normes environnementales élevées requises pour l'étiquette. Essayez d'éviter les poissons d'élevage, car il faut 3 tonnes de poissons capturés à l'état sauvage pour produire des tonnes de 1 de poissons d'élevage. S'en tenir aux poissons herbivores tels que le tilapia, car leur perte n'affecte pas la chaîne alimentaire autant que la perte d'espèces de prédateurs. Surtout, rappelez-vous que l'achat est un pouvoir.

Liste de poissons surexploités